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Email: pereguiniak_alex@mail.ru
Ma note moyenne pendant les études à l'université est 4,8. Je possède librement le russe et l'ukrainien. Dans le volume, suffisant pour la lecture et la correspondance, je possède le français général et technique dans le domaine de la technologie des constructions mécaniques et aussi l’anglais. J'ai l'expérience de travail dans la spécialité du tourneur. Je me passionne pour les technologies d'information et pour la musique.
Mon nom et prénom est Alexander Pereguiniak, je suis né le 9 juillet 1984 dans la ville Makeevka de la région de Donetsk, dans la famille de trois personne. Je suis devenu le deuxième enfant dans la famille, ma soeur Olga est née 10 ans plus tôt et elle était très contente de mon apparition.
Mon père, Pierre Pereguiniak, est né en 1951 au village pittoresque Vieux Ougryniv de la région d'Ivano-Frankovsk (c’est la patrie de Stépan Bandera). Il est devenu le septième enfant dans la famille de l'agronome du lieu. Après avoir terminé ses études à l'école et après quelques années du travail dans la ville Kalouche, mon père est parti développer l'industrie de Donbass suivant son frère Dmitry.
Ma mère, Valentina Pereguiniak, est née en 1653 à l'Oural où elle a passé les premiers dix ans de sa vie, après elle a déménagé à la région de Rostov avec toute sa famille ; ma parenté vit là-bas jusqu'à présent. Après la fin des études à l'école professionnelle, ma mère a été dirigée pour le passage de la pratique au Donbass, où elle a fait connaissance avec mon père.
Ma soeur aînée, Olga Dvornik, est née en 1974. Malgré une grande différence d’âge, j’étais toujours en termes excellents avec elle. Après la sortie de l'école elle a déménagé à la ville Gorlovka, où elle a fait l'apprentissage du technicien dentiste, là elle a rencontré son futur mari. On m’a appelé Alexander au choix de ma soeur, pour cela je lui suis très reconnaissant.
Mes parents et ma soeur prennent soin de moi depuis ma naissance et jusqu'à présent, ils m'aident; à mon tour, je fais tout mon possible pour leur rendre la pareille.
Mon enfance a passé dans les murs de l’école maternelle que je n'aimais pas, mais où chaque jour j’étais emmené par ma soeur. Maintenant, en passant devant mon école maternelle, qui à propos s'est transformé en brasserie, j'éprouve une certaine satisfaction de ce que je ne devrai plus y revenir.
Les souvenirs les plus vifs de mon enfance sont les souvenirs des voyages à la forêt pour ramasser des champignons. J'aimais beaucoup errer dans la forêt avec mon père, « en guettant » les champignons sous le feuillage et en les cueillant ensuite avec la passion.
En 1991 je suis allé à l'école, où au cours de 10 ans j’étudiais l'abc des sciences. J’y réussissais assez bien, ce que attestaient mes notes – "quatre" et "cinq". Je passais gaiement le temps libre avec mes amis dehors, sur les étangs et les chantiers.
En onzième classe j'ai pris la décision d’entrer à l’UNTD, à la faculté mécanique dans la spécialité «la technologie des constructions mécaniques». Cette décision était inattendue pour moi, car en 9-ème classe j'étais absolument sûr que je m'occuperais de la psychologie et je recevrais la formation correspondante. Mais, quand j’ai compris que cela ne m’intéressait pas assez, j'ai choisi la spécialité technique.
En 2001 j'ai essayé mes forces, en passant les examens à l'académie mécanique d'Etat de Donbass (AMED) et à l’UNTD. Ayant reçu la quantité suffisante des poins pour l'entrée à deux écoles supérieures, je me suis retrouvé entre deux possibilités. Mais cela n’est pas tout à fait vrai, puisque l’UNTD avec son histoire de plus de soixante ans et avec ses professeurs forts et compétents s'est trouvé hors concours.
Après le début des études, j'ai appris qu'à l'université existe le Département français de sciences techniques où on recrute les étudiants de ma spécialité pour l'enseignement en français et je m’y suis tout de suite inscrit. Cette décision est devenue le résultat de ma passion pour la langue française depuis les années scolaires, bien qu’à l’école j'étudiais la langue anglaise avec le même intérêt.
En troisième année, il y avait une répartition de notre groupe entre les chefs du travail de recherches scientifiques des étudiants (TRSE). Le chargé de cours de la chaire «La technologie des constructions mécaniques», Kovalenko Valery est devenu mon chef de recherches, sous les ordres immédiats de qui je me suis occupé des questions de l'influence de la géométrie du foret hélicoïdal sur les paramètres de la précision des trous usinés.
En quatrième année je suis entré à l'Université internationale des finances, à la spécialité "Finances" pour recevoir la deuxième formation supérieure dans le domaine de l'économie et élargir mes perspectives du placement ultérieur, ainsi que pour acquérir les nouvelles connaissances.
Après le commencement de mes études de magistère, le chargé de cours Bogouslavsky Vadim est devenu mon chef de recherches scientifiques, maintenant il dirige mon travail au sujet «Le perfectionnement des processus d’usinage des matières difficiles à usiner par l'outil axial»
Actuellement, je m'occupe de mon travail de magistère dans la spécialité principale, ainsi que de mon mémoire de diplôme d'études supérieures dans la deuxième spécialité (Finances), dans lequel j'étudierai les moyens du perfectionnement du financement par crédits de la population par les institutions bancaires.
Après la réception du diplôme je voudrais trouver un travail digne dans le domaine de la technologie des constructions mécaniques ou dans le domaine des finances pour mettre en pratique les connaissances reçues, notamment, les connaissances de la langue française.
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