Nom : Victoria
Prénom : Novikova
La date de la naissance : 23/11/1987
Nationalité : Russe
Etudes à l'école : 1995–2005
Etudes à l'université : 2005–2009 (bac+4)
Etudes en master depuis 01/09/2009
La note moyenne pendant mes études universitaires est 4,82 (sans compter l’examen d’Etat).
Le russe et l’ukrainienne sont mes langues maternelles. Dans le volume suffisant pour les relations, la lecture et compréhension, je sais traduire des textes techniques en langue française.
J'ai l'expérience de travail avec les programmes MS Office Word, PowerPoint, Access, Excel, MathCad, AutoCad, EASY-SOFT 6-Pro, ABBYY FineReader, Paint.
J'écris les vers, je me passionne pour la décoration des ongles, j'aime voyager, cuisiner, organiser les fêtes et inventer les cadeaux extraordinaires.
Constante, responsable, joyeuse, sociable.
J'étais assise dans le ventre de ma mère et pensais : comment étonner mes parents ? Certes, qu'ils attendaient un garçon, mais si une fille naîtra, cela pourrait les étonner beaucoup. Mais cela, apparemment, n’était pas suffisant. J'ai décidé de les réjouir de mon apparition un mois avant : exactement au jour du cinquantenaire de mon grand-père Victor ce qui est devenu par la suite décidant au choix du nom Victoria. Comme vous le voyez, l’opinion qui existe dans le monde que les enfants de huit mois ne survivent pas, a été démentie par moi le 23 novembre 1987 dans la ville de Dresde, l'Allemagne.
A ce moment-là, ma famille comprenait trois personnes : ma mère - Elena Viktorovna Novikova, cuisinière, mon papa - Nikolay Nikolaévitch Novikov, militaire, et mon frère - Dmitry Nikolaévitch Novikov.
Mon frère ainsi que mes parents attendait mon apparition avec une grande impatience. Mais, m'ayant vu pour la première fois, il a dit avec le chagrin: «Maman, elle est tellement petite, comment je jouerai avec elle au football ?»
C’est ainsi que ma vie a commencé.
Je passais la plupart du temps de mon enfance avec mon frère aimé Dima, puisque ma mère et mon papa travaillaient. Et quel était la surprise de ma mère, une fois quand elle est revenue à la maison du travail et a vu que Dima qui sans savoir se servir des pinces à cheveux, avait peigné sa soeur aimée et bandé la queue par le fil rouge en nœud de ruban. La mère, m'ayant vu, n'a pas pu retenir un sourire.
En 1990, je suis allée au jardin d'enfants, où ma mère travaillait comme cuisinière. Ayant appris cela, je me trouvais toujours dans la cuisine chez la mère en me cachant de l'attention des éducateurs.
J'adorais les matinées diverses, les fêtes, les promenades dans la rue. Une seule chose que je n’aimais pas dans le jardin d'enfants étaient des gratins de fromage blanc, je pouvais être assise devant eux instamment jusqu'au soir dans l'espoir que ma mère viendra me chercher pour rentrer à la maison.
Peut-être, l'enfance c’étaient les meilleures années dans ma vie.
En 1995, dans la ville de Makeevka, à l’école d'enseignement général №50 à 8:45 a sonné la première sonnette d'école dans ma vie.
Dès la première classe, j'ai commencé à prendre une part active à la vie de la classe : les fêtes diverses, les gourmands, les concerts, les voyages touristiques ne passaient pas sans ma participation. Je m'occupais de toutes les questions d'organisation.
À l'école, l'algèbre, la géométrie, la chimie, les langues russe, ukrainienne et la littérature me plaisaient. Certes, je participais plusieurs fois aux olympiades selon toutes ces matières.
Un matin, dans la classe de 8-ème, je me suis réveillée et les idées sur une personne chère à moi ont commencé à naître dans ma tête. Sans trop réfléchir, j'ai pris une feuille et un stylo ; c’est ainsi que mon premier vers a apparu (j’avais alors 14 ans). Depuis ce temps-là, quand j'ai le cœur en joie ou le cœur gros, j'écris les vers.
En 2005, je suis sortie de l'école, avec mention excellente, et je trouve qu’en cela la grande partie du mérite revient à mes parents et mes professeurs.
A l’âge de 14 ans, j'étais assurée que j’ai déjà choisi ma future profession : «Je serai styliste du large profil», - je disais à tout le monde. Dans la classe de onzième, mon choix a changé : j'ai voulu entrer à l'université médicale. Mais ayant appris les cotes à l’Université nationale technique de Donetsk (UNTD), j'ai décidé d'essayer mes forces : je savais exactement que je testerais mes forces pour entrer à la Faculté électrotechnique sur la spécialité «l'Approvisionnement électrique des établissements industriels et des villes» au groupe français. Je suis entrée! Et, ayant appris cela, j'ai compris que peut-être, il me fallait étudier ici.
Le 1 septembre 2005, je suis venue au premier cours dans ma vie. Je me rappelle encore mes impressions: un grand bâtiment, tant de gens inconnus, tout était étranger. Après l'école, il était assez difficile de m’adapter au nouveau système de l'enseignement : les leçons longues, les sessions, et ensuite les cours en français, les passages inoubliables d’un bâtiment à l’autre resteront dans ma mémoire. Jusqu'ici, je suis frappée par la capacité des tramways et des trolleybus : ils sont extensibles! Dedans, on pourrait penser qu’ils sont pleins à craquer, à l'arrêt suivant, deux dizaines d’étudiants y entrent encore.
En 1-ère, 2-ème et 3-ème années, je participais aux concours universitaires de la langue française. La première année est restée dans ma mémoire aussi grâce à la première conférence dans ma vie (en langue française).
Maintenant, faisant mes études en master, il me semble que je connais chaque coin à l’UNTD.
Ayant passé avec succès l’examen d’Etat, j'ai fini la 4-ème année d’études. On me demande souvent : «Pourquoi tu as décidé de continuer tes études en master, quelles étaient tes motivations?» Et aujourd'hui, après avoir passé la dernière session, j'avoue honnêtement que je ne peux pas répondre univoquement et précisément à cette question. Dans la vie, il arrive très souvent que je fixe devant moi les nouvelles tâches, et ensuite j’essaie d'atteindre le résultat souhaité de toutes mes forces. Peut-être, ayant décidé de faire mes études en master, je me suis fixé le but qui deviendra mon progres suivant dans la vie.
En 4-ème année d’études, j'ai choisi le chef de ma mémoire de fin d’études. Sûrement, c’était Il'ja Adol'fovich Bershadsky, le candidat des sciences techniques, le chargé de cours de la chaire «l'Approvisionnement électrique des établissements industriels et des villes». L'actualité du sujet «l'Étude des principes de la construction des protections en chiffre avec la mise en marche selon la tension à la base du relais EASY de la société Moeller» est liée avant tout à ce qu'aujourd'hui une des voies principales de l'augmentation de la productivité, de l'amélioration des indices de qualité à la production et de la réduction de la consommation énérgetique est l'application des moyens de l'automatisation de l'équipement. Avec l'aide des relais en chiffre, on peut réaliser les fonctions données par voie informatique, pratiquement sans augmentation du coût de tout le système de commande ce qui est important aujourd'hui, à mon avis, du point de vue économique.
Pendant ces 5 années d’études, dans ma vie il y avait les jours complexes, ainsi que les jours faciles et joyeux. J'ai fait connaissance avec plusieurs beaux professeurs qui laisseront pour longtemps la trace dans mon coeur et les souvenirs chauds : Izmajlov G. G, Tishechko I. A, Tujahov A.I., Gorin V. JA, Bershadsky I. А, Chursinov V. I, Chursinova A.A., Kolomyttsev A.D., Vasiliev L. А, Amel'nitskaja E.V., Jakimishina V. V, Mouha V.P., Matulevskaja T.V., Kurennyj E.G., Stupak I.A., Kovalev A.P., Shevchenko O. А., Zavadskaja T.V.
Dans l’avenir, j'envisage soutenir avec succès ma mémoire de fin d’études, trouver un travail selon ma spécialité qui, j’espère, me donne les émotions positives non seulement parce qu'il sera bien rémunéré, mais aussi parce qu'il m'apporte un plaisir immense.
«Il faut travailler pour vivre, et non vivre pour travailler!!!»
Encore je veux ouvrir, par la suite, une société d’organisation des fêtes ou un magasin de linge de corps.
Aujourd'hui la devise de ma vie : «Dans la vie il nous faut peu de choses pour réussir, seulement ce que j'ai : mon talent et ma persévérance extraordinaire, mais avec eux rien n'est impossible pour moi!!!»