Grigoriev Alexey Alexeevitch |
L'Aperçu du Travail |
Ðóññêèé Óêðà¿íñüêà Française English |
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Le diagnostic vibro-acoustique de l'arbre principal de l’installation d’extraction minière À
l'élaboration du modèle mathématique on faisait les
admissions suivantes : · les ensembles du palier de l'arbre principal se trouvent
dans l'état vibratoire assez intense. Cela témoigne de la
flexibilité des chaises du palier de la machine; · en utilisant la terminologie les mécaniciens
classiques l'arbre principal de la machine avec le tambour on peut comparer
à la toupie avec le point immobile dans le semi-manchon
gauche; · la flèche transversale de l'arbre dans l’entourage
du moyeu est plus petite, au moins, pour deux ordres que la flèche du
chaise même aux estimations les plus "grossières"
de sa flexibilité. À ce titre nous trouveront la toupie comme le
corps absolument solide faisant outre la rotation propre aussi les mouvements
caractéristiques, nommé par la précession et la nutation. Fig. 1 - le
Schéma de l'action des forces sur l'arbre principal de la machine. Sur fig. 1 dans deux
projections on montre schématiquement le schéma de calcul de
l'arbre principal ÎÀ avec l'arbre adhérant du rotor du moteur OD. L'arbre principal de la machine s'appuie sur les
chaises souples du palier dans les points A et B, mais l'arbre du rotor sur les
chaises non déformés dans les points C et D. La direction des
axes ÎX, ÎY et ÎZ sont indiqués sur fig. 1 et les axes ÕÓZ forment le
système droit des coordonnées. Les chaises de
l'arbre dans les points A et B ont les coefficients de la rigidité ÑX et ÑY
conformément aux directions des axes des coordonnées. Les forces
G'Á = GÁ/2, où
GÁ est
le poids du tambour de la machine distribuée sur deux parties
égales pour deux moyeux dans les points A', B'. La force GB
est le poids de l'arbre principal, qui est supposée concentré au
point O', étant le milieu d’espacement ÀÂ. Les forces ÐÕk et ÐYk (k = 1,
2..., n) sont projection sur les axes correspondant des efforts totaux dans
les brins montant et descendant k-ème du câble à leur
quantité totale égal n.
Pour le cas de la
disposition des poulies de déviation sur le brin descendant ils sont
égaux : où Fíàá et
Fñá sont
les efforts totaux dynamiques aux brins montant et descendant de tous les
câbles; α0 – l’angle
d’enroulement de la poulie de friction par le câble; δRk - la deviation k- ème
rayon de la cannelure du rayon moyen de l’enroulement R; A - la
rigidité longitudinale du câble; f1,f2
les fonctions sans dimensions. Les forces FÕ1, FÕ2, FY1,
FY2 sont les projections des forces de l'action sur l'arbre
principal des moyeux correspondant dans les points A', B'.
Avec l'utilisation
des rapports (2) par la condition de l'égalité au zéro des
moments des forces en ce qui concerne le point O et en vertu de l'admission
quatrième concernant l'absence des déformations transversales de
l'arbre, les réactions des chaises élastiques dans les points A
et B s'inscrivent dans l'aspect suivant :
Où est désigné δ" = 2 (Δ + Δ') + (n - 1)δ + δ' - la longueur de l'arbre principal. De la fig. 1 on voit, que
À son tour
les réactions RX1 et RY1
sont définies comme la composition des coefficients de la
rigidité ÑX, ÑY pour les
déplacements correspondant transversaux de l'arbre dans le point A (voir
fig. 1) ÕÀ, YÀ, pris avec
les signes opposés, c'est-à-dire RÕ1=-ÑÕÕÀ, RY1=-ÑYYÀ. Puisque le rayon
vecteur ÎÀ dans le
système mobile a les composants 0, 0, δ", alors les
composants du même vecteur ÕÀ, YÀ, ZÀ dans les axes
immobiles on peut trouver à l'aide àk = Àkià', à'k = Àikài, ayant
produit les opérations suivantes de la matrice carrée pour la
matrice colonne :
Donc, ÕÀ=δ"βsinα, YÀ=-δ"βcosα, ainsi, les
composants dynamiques de la réaction du palier droit nous
définirons comme RÕ1=-ÑXδ"β sin (α), RY1=ÑYδ"β cos (α) (5) De la même
manière en vertu des conditions de la proportionnalité (4)
s'inscrivent les rapports pareils pour le palier droit : RÕ2=-ÑXδ'β sin (α), RY2=ÑYδ'β cos (α). (6) Les grandeurs quasidynamiques de la précession et la nutation se
trouvent à l'aide des premières et troisièmes expressions
de (2) comme les décisions du système des équations RÕ1=-ÑXδ"β sin (α), RY1=ÑYδ"β cos (α). (7) En vertu des
conditions de la proportionnalité nous recevrons RÕ2=-ÑXδ'β sin (α), RY2=ÑYδ'β cos (α).
(8) De (7) et (8) il
suit:
Où α et β les valeurs quasidynamiques des grandeurs dynamiques de la
précession α et la nutation β de l'arbre. Les composants du
vecteur axial des moments des forces extérieures M par rapport du point
O (voir fig. 1) :
où ÌÝ est le moment
électrodynamique du moteur. Si au rapport (10)
mettre les valeurs (7) et (8), nous recevrons :
Nous remarquerons,
que (11) définissent les composants des moments des forces dans le
système immobile des coordonnées, mais cela est la circonstance
essentielle pour l’établissement des équations
différentielles du mouvement de la toupie. Comme était plus haut
remarqué, l'arbre principal de la machine avec le tambour
rapporté représente le type classique de la toupie avec le point
immobile Î. À l'approche
simplifiée il suffit d’estimer l'arbre principal comme le rotateur
ordinaire de la longueur δ" et la masse
GÂ/g, mais le tambour
présente le corps creux cylindrique de la longueur lá = 2Δ+ (n-1)δ et la masse
GÁ/g. Alors avec
l'exactitude suffisant pour les buts de génie on peut inscrire :
Le moment
cinétique de l'inertie IZ est égal : Iz=GD2/4g. (13) Donc, les formules
reçues peuvent servir comme les initiales pour l’établissement et
les résolutions ultérieures des équations de la dynamique
du système examiné. |
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