Grigoriev Alexey Alexeevitch
Le Curriculum Vitae
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L’UNTD

Niveau de formation
«Mastère spécialisé»

Ìîå ôîòî
Grigoriev Alexey Alekseyevitch
Université Nationale Technique de Donetsk
Faculté
d’énergomécanique et d’automatisation
Chaire
de systèmes énergétiques et mécaniques
Spécialité
Systèmes énergétique et mécanique de l'équipement minier d'enrichissement
Thème du travail de fin d’étude au niveau de formation «Mastère spécialisé»:
Le diagnostic vibro-acoustique de l'arbre principal de l’installation minière d’extraction
Dirigeant scientifique
Docteur d’Etat ès sciences techniques Monsieur Yatsenko A. F.
grigoriev.aleks@gmail.com
grigoriev-alex@yandex.ru

Le curriculum vitae

     Renseignements bref sur moi-même

     Je suis Grigoriev Alexey Alekseyevitch, étudiant à la 5-ème année de l'Université Nationale Technique de Donetsk. Je fais mes études à la filière francophone (Département Français des Sciences Techniques) conformément à la spécialité «Systèmes énergétique et mécanique de l'équipement minier d'enrichissement». Ma chaire est celle de «Systèmes énergétique et mécanique» de la faculté d’énergomécanique et d’automatique.  Pendant mes études, j’ai eu  la note moyenne  4,5. J'ai de l'expérience de travail avec de telles applications comme Promt XT Family, MathCad, Kompas et bien sûr, avec le paquet de programmes MS Office 2003.

     Mon père est Grigoriev Alexey Alekseyevitch, il est ingénieur. Il est d’origine de Donetsk, le promu de l’Institut Polytechnique de Donestk (DPI), ma mère est Grigorieva Lydia Afanassievna, comptable, d’origine de la région de Koursk. Je suis né à Donetsk le 28 mars 1984.

     Etant tout petit, j’ai été au jardin d'enfant ¹ 6 «Petit bouleau». J’y ai appris à lire, écrire par les "lettres imprimées" et j’ai appris par cœur les premiers mots en anglais. J’apprenais  non seulement au jardin d'enfant, mais aussi chez moi. En plus, les parents m’accompagnaient au palais de la culture portant le nom de Kalinine qui se trouvait non loin de notre maison. J’y apprenais l’anglais, le cursus pour les enfants. En été je partais chez ma grand-mère à la campagne et tout ce que j’avais appris, s’oubliait « avec succès ».

     On ne sait pourquoi mais je suis allé à la deuxième classe de l'école (c’était l'école ¹ 59) ayant « sauté » la première classe. Peut être parce que j’ai été dans le jardin d'enfant dans le groupe spécial où on nous préparait à l’école. Ou peut être encore parce que je rêvais à la 4-ème classe qui était énigmatique et que mes amis de mon âge n’avaient pas. Dans tout cas je garde mes meilleurs souvenirs de mes années scolaires. Non, cela ne signifie pas du tout, que faisais très bien mes études à l’école et que tout était toujours OK. Tout simplement même les notes satisfaisantes à la fin d e l’année, des querelle avec mes copains, des réprimandes de la part des instituteurs, même ces moments les plus négatifs, qui à cette époque-là me semblaient terribles et incorrigibles, maintenant avec du temps écoulé  sont rappelés avec un sourire et une légère tristesse.

     Ma première institutrice était Tatiana Ivanovna Lapina, une très bonne personne et un très bon pédagogue. Elle nous enseignait de la première à quatrième classe. Elle nous apprenait à lire, écrire et compter. Puis elle a remis la suite de notre éducation aux mains habiles de Larissa Alexandrovna Muzhetskaya, institutrice de mathématiques. Notamment grâce à elle, j’ai aimé les mathématiques qui étaient ma discipline préférée à l’école. Mais cela n'ajoutait pas de l’assiduité à mes études et c'est pour cela que j’avais des notes différentes. Les disciplines aimées étaient aussi l'histoire et la langue anglaise. La première me plaisait grâce aux récits passionnants d'Alexandre Aleksandrovitch Pavlik, l’autre - grâce aux compétences professionnelles et aux exigences de Nina Afanassievna. En général, je voudrais adresser quelques mots chaleureux à tous mes instituteurs de notre école. Je suis profondément persuadé, que j'avais eu de la chance d’avoir de tels instituteurs  remarquables qui s'occupaient de mon éducation et de ma formation.

     Parallèlement avec les études à l'école je m'occupais d'autres aspects de l'activité "extra-scolaire": gravures sur bois dans le club "Brigantine" (à l’âge de 8-9 ans), danses dans le club de danse  "TYP-TOP" (à l’âge de 10-12 ans), je prenais part au spectacle « Fedot – tireur » d’après Léonide .Filatov. Dans la Maison de la création des enfants et des jeunes de l’arrondissement Kievsky je m'occupais de l’art vocal et su jeu à la guitare sous la direction des professeurs remarquables Raissa Fedorovna, Angelika Anatolievna Lysenko et Eugeny Aleksandrovitch Chtepa. À cette période, je me produisais souvent, parfois avec l'ensemble, parfois seul. Comme souvenir dd cette période, je garde des diplômes reçus pour ces activités. Ainsi par exemple, en 1999, j'étais récompensé par le diplôme pour la  troisième place occupée au concours de la ville des interprètes de la romance «Les Rossignols chantent et pleurent». En novembre 2000, j’ai participé au festival national du chant académique «Belcanto d’Ukraine» et un diplôme aussi m’a été décerné.

     Il y a eu ensuite la dernière année scolaire, assez complexe et contradictoire avec le système incompréhensible d’évaluation de  douze points, des batailles pour les points semestrielles, les examens "terribles" de fin d'études, la soirée finale d'au revoir à l’école qui avait duré traditionnellement jusqu'à l'aube.

     En juillet 2001, je suis entré à l'Université Nationale Technique de Donetsk. D'abord selon l'entretien, je suis entré à la spécialité dont j’ai peu de connaissances jusqu’à présent sauf ce que celle-ci s'appelle en abréviation comme «TTR», mais puis d’après les résultats des examens j’ai été inscrit à une autre spécialité que j’étudie maintenant. Pour moi c’était une petite surprise et une grande joie à la fois, car en effet, je ne me préparais presque pas aux examens d'entrée. Plusieurs des mes copains d’école suivaient des cours préparatoires à UNTD, mais je ne l’ai pas fait pour des raisons qui ne me dépendaient pas.

     Les premières impressions n'ont pas justifié mes attentes. Et ce n'est pas étonnant, car en effet, mon idée sur les études à l'université a été formée sous l'influence des films hollywoodiens. Mais en réalité il a fallu tomber sur des cours ennuyeux, des salles d’études  inconfortables, des devoirs complexes, des va-et-vient interminables entre les différents bâtiments d’études. En plus, dès le début, de certains professeurs nous disent que les étudiants de la première année ne sont pas encore étudiants : il faut passer la première session d’examen. Bref, d'abord j’ai eu des idées de type : quel cauchemar ! Où suis-je ? Et moi, j’étais dans la situation privilégiée :j’ai eu de la chance de ne pas être logé au foyer des étudiants …

    A la deuxième semaine de mes études à l'université, des professeurs du Département Français des Sciences Techniques sont venus  un des cours pour nous parler des avantages de l’enseignement dispensé en français. C’était une idée séduisante. Ils ont parlé des diplômes supplémentaires et la possibilité de poursuivre des études à l'étranger. Je ne peux pas dire que j’y ai cru tout de suite. Pourtant, je ne sais pourquoi mais j'ai eu envie d’apprendre quelque chose nouvelle, ce que je n’avais pas encore appris. Donc, c’est comme ça que je suis devenu étudiant de deux facultés à la fois et jusqu’à présent, je n’ai pas regretté ma décision prise.

     Premièrement, parce que plusieurs choses promises ont été vraies. En effet, vers la troisième année de nos études, nous avons appris non seulement à écrire et à lire en français, mais nombreux sont ceux et celles qui ont beaucoup enrichi leur vocabulaire. Nous avons pu déjà traduire du premier coup des  données de départ d'un problème, lire et comprendre une simple instruction concernant des  appareils ménagers.

     Deuxièmement, c'est l’équipe pédagogique qui est unique. Des disciplines techniques ont été enseignées en français et c’étaient des professeurs qualifiés qui le faisaient. Ces professeurs ont une grande expérience acquise au cours de leur enseignement en français dans les pays francophones et donc, ils maîtrisent le français général et le français scientifique et technique. 

     Troisièmement, le nombre d’étudiants dans les groupes français, en général, est beaucoup plus petit, que dans les groupes russes. C'est pourquoi les professeurs donnent plus de temps et d’attention à chaque étudiant en particulier. Comme conséquence, on peut dire qu’il est beaucoup plus facile  de faire les études.

Pour moi, ma réussite la plus importante était celle de mon inscription à l’Université.  Toutes mes occupations auxquelles j’ai été lié à la période d'école, avaient été reportées peu à peu au deuxième plan. C’était comme ça à la première et à la deuxième année.  Mes études occupaient tout mon temps étant mes priorités. Ensuite j’ai eu plus de temps pour d’autres occupations. Peut être parce que les disciplines sont devenues plus faciles ou bien je me suis habitué déjà à l’emploi du temps de la vie universitaire, j’ai trouvé du temps pour mes d’autres activités. J'ai commencé à jouer dans le groupe peu connu «Out of control». Nous avons réussi à enregistrer même quelques chansons et les présenter à une réunion des tolkienists. Ces gars, comme il me semble, ont beaucoup aimé à « faire sonner » leurs vêtements métalliques en mailles et agiter les glaives en aluminium sous notre musique. Oui, c’était une période amusante. Presque en même temps, j'ai décidé de faire du sport et je me suis inscrit au club de gymnastique où je m’étais  entraîné au cours de deux ans avec des pauses.  Puis, l'administration a fait connaître la fermeture du club.

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